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« Même les chameaux semblent être hébreux ». Une histoire du cinéma israélien d’avant la création de l’État d’Israël (1917-1947)
Enseignant:
Année universitaire:
Description:
En avril 1897, Alexandre Promio, un opérateur dépêché par les frères Lumière, tourne à Jérusalem, Bethléem et Jaffa les toutes premières images de la Palestine, alors ottomane, qui fixeront pour les décennies à venir un imaginaire mêlant réminiscences bibliques et fascination orientaliste. Conscientes de l’enthousiasme que provoquent les vues cinématographiques des paysages d’« Eretz Israël » sur les spectateurs juifs occidentaux, les organisations sionistes s’appuient, dès les années 1910, sur le cinéma qui s’impose rapidement comme un outil essentiel à la promotion des premières réalisations du yishouv (l’implantation juive en Palestine) et, ce faisant, à l’affirmation de la crédibilité d’un projet étatique. Le KKL et le Keren Hayesod font ainsi appel à de jeunes pionniers inexpérimentés tels que Yaacov Ben Dov ou Nathan Axelrod qui, avec des moyens extrêmement rudimentaires, tiennent à partir de 1917 la chronique filmée de la vie en Palestine. En revenant sur les grands noms (Halachmi, Lerski, Ford) et les principales thématiques de cette préhistoire du cinéma israélien, nous en rappellerons les enjeux politiques et essaierons de mesurer l’influence qu’eurent alors ces images lointaines sur des spectateurs souvent transportés. À l’instar du poète roumain Benjamin Fondane qui, en 1919, écrivit suite à une projection : « L’histoire est partout dans ce pays hébreu. Les palmiers eux-mêmes semblent être hébreux. De même les chameaux qui transportent les oranges à travers le monde ».
Séance(s):
Lundi, 9 Mars, 2026 - 19:00
Référence:
LW25-16 14,00 €